Nous reprenons les représentations de Beaucoup de bruit pour rien dès mardi 17 novembre au Studio-Théâtre d’Asnières-sur-Seine.
de William Shakespeare
Nouvelle traduction Gil Delannoi
Mise en scène Hervé Van der Meulen
Assistante à la mise en scène Elisa Habibi
Décors Claire Belloc
Costumes Isabelle Pasquier
Chorégraphies Jean-Marc Hoolbecq
Chansons Jean-Pierre Gesbert
Lumières Stéphane Deschamps
Maquillage Audrey Millon
Avec
Etienne Bianco, Jean-Marc Coudert, Paul Delbreil, Maylis de Poncins, Charlotte Desserre, Timothée Doucet*, Myriam Doumenq, Noé Favre, Robin Goupil*, Nicolas Guillemot*, Guillaume Jacquemont, Charles Leplomb*, Jean-Michel Meunier, Augustin Passard, Laurent Prache, Eric Pucheu, Luc Rodier, Laurène Thomas et Hervé Van der Meulen
* en alternance
A partir de 12 ans – Durée : 2h20
Production Le Studio d’Asnières
Avec la participation artistique du Studio – Ecole Supérieure de Comédiens par l’Alternance (ESCA)
Le texte est publié chez Berg International, dans l’ouvrage :
Shakespeare, Le Songe d’une Nuit d’Eté & Beaucoup de Bruit pour Rien, traduction Gil Delannoi, Berg International, 2015, ISBN 9782370200563
Shakespeare revisité avec fougue… une compagnie exceptionnelle…Quelle troupe ! Autour d’Hervé Van der Meulen, metteur en scène et chef de bande, voici dix-sept acteurs en état de grâce…Pendant deux heures et demi, les comédiens émulsionnent la tension dramatique, entrecoupée de jolies bulles de fantaisie. La mécanique implacable de l’auteur anglais est parfaitement servie par une mise en scène fluide, un rythme qui ne faiblit pas et des acteurs qui donnent tout le sens au mot de troupe. Un régal.
Ouest France (Festival d’Anjou– juin 2015)
Beaucoup de bruit pour rien est une comédie de Shakespeare qualifiée de « romantique ».
L’intrigue principale – le mariage de Héro, fille du gouverneur Léonato, avec le seigneur Claudio, favori du Duc – assez conventionnelle au départ, vire rapidement au tragique, à la suite des manigances du frère du Duc, Don Juan, personnage maléfique, qui pourrait annoncer les mélodrames.
L’intrigue secondaire – les amours de Béatrice, nièce de Léonato, avec le seigneur Bénédict – est au contraire inattendue, drôle, cynique. Les dialogues entre ces deux êtres diablement intelligents, que tout oppose, et qui finiront par s’aimer, sont parmi les plus brillants, les plus ironiques, les plus cyniques de l’auteur de Stratford. Ils ont fait le miel de lignées de grands acteurs et le plaisir de générations de spectateurs.
Si on ajoute à ces intrigues les scènes de farce des hommes du guet (une sorte de police municipale), hautes en couleur et franchement grotesques, voilà une comédie originale, protéiforme et qui sait tenir en haleine.
Du mélange des registres, que le metteur en scène doit absolument assumer, et auquel viennent s’ajouter musique et danses, naît un spectacle plein de gaîté, de couleurs et d’émotions.
Un spectacle au sortir duquel le spectateur est aussi amené, à l’instar de l’auteur, à remettre en questions d’abord les règles théâtrales et, bien au-delà, les conventions sociales.
Hervé Van der Meulen
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Mardi 10 novembre 2015 à 19h
Mercredi 11 novembre 2015 à 20h30
Jeudi 12 novembre 2015 à 19h
Vendredi 13 novembre 2015 à 20h30
Samedi 14 novembre 2015 à 19h
Dimanche 15 novembre 2015 à 15h30
Mardi 17 novembre 2015 à 19h
Mercredi 18 novembre 2015 à 20h30
Jeudi 19 novembre 2015 à 19h
Vendredi 20 novembre 2015 à 20h30
Samedi 21 novembre 2015 à 19h
Dimanche 22 novembre 2015 à 15h30
Mardi 24 novembre 2015 à 19h
Mercredi 25 novembre 2015 à 20h30
Jeudi 26 novembre 2015 à 19h
Vendredi 27 novembre 2015 à 20h30
Samedi 28 novembre 2015 à 19h
Dimanche 29 novembre 2015 à 15h30